Comment le développeur de ‘Among Us’ aide-t-il les studios indépendants à survivre à la tourmente actuelle du jeu vidéo ?

Alors là mes amis, accrochez vos ceintures, car on va parler d’une petite histoire qui va vous donner des frissons de plaisir ! Imaginez un peu : le jeu « Among Us », ce petit phénomène qui a secoué le monde du jeu vidéo avec sa simplicité déconcertante et ses parties endiablées. Mais ce n’est pas tout, car derrière ce succès se cache un développeur pas comme les autres, prêt à tendre la main aux studios indépendants en ces temps turbulent de l’industrie vidéoludique. Alors, attachez-vous bien, on plonge dans les coulisses de cette incroyable aventure !

Le sauvetage ludique par Innersloth #

Avez-vous entendu parler d’Innersloth ? Si vous connaissez Among Us, ce craquant jeu de déduction sociale qui a retourné le monde du jeu vidéo en 2020, alors vous connaissez déjà Innersloth ! Deux ans après sa sortie, ce jeu est devenu le titre mobile le plus téléchargé au monde. Mais Innersloth, ce n’est pas juste un succès éclair, oh que non ! Ces génies derrière les petits astronautes colorés utilisent maintenant leurs millions de dollars pour lancer une bouée de sauvetage aux petits développeurs avec leur nouveau fond d’investissement, baptisé Outersloth.

Outersloth : Une lumière dans la tempête du gaming #

Actuellement, l’industrie du jeu vidéo, c’est un peu comme une version extrême du Monopoly, où les petites entreprises déclarent faillite à tour de bras et les grands joueurs essaient de bâtir des hôtels sur la rue de la Paix. C’est dans ce contexte tumultueux que Outersloth intervient pour offrir un repaire aux créateurs indépendants qui cherchent à échapper aux écueils du cycle d’édition traditionnel. Outersloth tire son épingle du jeu non seulement en fournissant des fonds, mais également en laissant une totale autonomie aux développeurs sur leurs projets.

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Victoria Tran, la directrice des communications chez Innersloth, explique que l’objectif d’Outersloth est de soutenir les indépendants désireux de devenir autosuffisants et leur donner « un petit coup de pouce ». Elle espère que les studios pourront ainsi réussir suffisamment avec leur prochain jeu pour ne pas avoir à replonger dans le cycle infernal de la recherche de financements et de partenaires éditoriaux.

Une politique d’investissement pragmatique #

Outersloth n’impose pas de critères draconiens quant aux projets qu’elle choisit de soutenir, bien que le fonds ait tout de même décidé de passer son chemin sur les jeux exploitant la blockchain ou l’IA. Le principe est plutôt de garder un oeil ouvert sur les propositions uniques, même celles qui peuvent sembler trop atypiques ou expérimentales pour les investisseurs habituels. Par exemple, leur toute dernière prise, Clickholding, a été décrit sur leur site comme « une histoire si décalée et troublante qu’elle a fait éclater de rire toute une salle ». Pour l’équipe d’Outersloth, c’était un pari qui en valait la chandelle.

Le modèle adopté par Outersloth est d’une simplicité rafraîchissante : aucune interventionnisme. Personne chez Outersloth ne se mêle de la conception du jeu. Les développeurs gardent le plein contrôle de leur créativité, ce qui est une bouffée d’air frais dans un secteur où les contrats peuvent parfois ressembler à des chaînes.

Aux côtés des indie jusqu’au bout du jeu #

Chez Outersloth, le soutien ne s’arrête pas au moment où le jeu est lancé. Victoria Tran souligne l’importance de permettre aux studios de conserver une part significative des revenus post-lancement. C’est crucial pour qu’ils puissent non seulement couvrir leurs coûts initiaux, mais aussi envisager l’avenir avec sérénité financière.

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Grâce à cet élan généreux d’Innersloth, le futur des jeux indépendants semble un peu moins incertain. Qui sait, peut-être que grâce à Outersloth, le prochain grand hit est déjà en train de prendre forme dans l’esprit d’un développeur indépendant plein d’ambition et maintenant, grâce à ce soutien, doté des moyens de ses ambitions.

Qui l’aurait cru ? Des humanoïdes colorés flottant dans l’espace aideraient à sauver le vaste univers du jeu vidéo. Comme quoi, parfois, l’univers a vraiment le sens de l’humour !

@emmanuelmacron

Le plus grand musée du jeu vidéo au monde, nous allons le faire en France ! #PGW ♬ son original – Emmanuel Macron